Cardiaque, souffrant de diverses douleurs, Michel travaille depuis des années dans la crainte du jugement de ses supérieurs.
Surchargé de tensions émotionnelles, l’organisme de Michel a développé une anxiété chronique jusqu’à l’apparition de sa maladie.
Il a une névrose de stress car il a perdu ses capacités d’expression et de détente. Il ne sait plus ce qu’il sent, ni même quand il sent.
Si l’excès de stress augmente l’inflammation, le soutien émotionnel permet de la diminuer.
C’est en apportant toute son attention à ses sensations et tensions dans son corps à travers le lâcher – prise que Michel a pu accéder au relâchement.
Grâce au soutien de la thérapie et à l’autorisation donnée par son esprit, il a cessé de vouloir arrêter son angoisse et accepter la relaxation.
Plus tard, le travail avec les images et le renforcement du lien avec ses émotions lui ont permis de faire face à ses obligations professionnelles sans reculer le moment d’agir.